N’allez pas à la pharmacie demain, elle sera fermée, comme la majorité des pharmacies en grève.
A l’instar des dépositaires de journaux qui s’étaient battus, pendant des années, afin que les titres ne soient pas distribués en grande surface, voilà que maintenant ce sont les médicaments qui risquent de l’être !
La guerre des dépositaires a été perdue, ce n’est pas pour autant qu’il faut baisser les bras et ne pas soutenir le commerce de proximité.
On veut aussi imposer aux pharmaciens de donner au compte goutte les gélules de toutes les couleurs : une perte de temps derrière le comptoir et une absurdité supplémentaire ; et si c’étaient aux laboratoires pharmaceutiques à faire un effort ?
Non aux médicaments entre les patates et les aspirateurs ! Soutenez les pharmacies de nos villages.