Il fut un temps où l'on se faisait la guerre pour conquérir des frontières ; bientôt on se battra pour avoir de l'eau. Sans eau, pas de vie possible sur Terre ni ailleurs.
Cette année, l'eau est présente partout : en paroles, en images, en chansons, en peintures ; il suffit d'ouvrir un livre, un magazine, de regarder la télé, d'aller déambuler dans les musées, ou d'aller à la rencontre de l'exposition Imprévus au village à Saint-Gervais !
Post-scriptum : à celles et ceux qui déambuleront dans le village avec l'intention de faire des photos... Quelle idée de tout mettre en vitrine ! De face, impossible à cause des reflets ; de biais, on voit encore les voitures qui passent et les façades des immeubles... Et n'attendez pas la nuit : jamais de coups de flash dans les vitrines, c'est pire ! Alors tant pis, on a une vision des œuvres, des voitures qui passent, et même des Petits Bruns chez Myriam...
Rue de la Marianne, à la boulangerie Letouzey, Jean-Marc Bertolotti et André Cauvi exposent des extraits de leur livre de photographies « Eaux vives du haut-Languedoc ».
A l'épicerie Chez Alexandre, c'est l'école primaire qui a travaillé sur « La naissance de Vénus » de Boticelli.
A l'ancien atelier rue du pont, Jackye Lignon a exposé sur la symbolique de l'eau avec des acryliques et des monotypes.
A la pizzeria, Ariane Sirota a accroché ses photographies du patrimoine hydroélectrique local, passé ou à venir.
Sur la place, Chez Camille, Mauricette Debieuvre a mis en vitrine ses tableaux sur le thème de l'eau, énergie vitale avec des décors verdoyants et des arcs en ciel.
A l'espace Coiffure, le foyer d'accueil médicalisé présente des peintures sur différents supports. (Oups, ici la vitrine n'a pas encore été changée).